Le KKE, parti communiste grec, qui s’oppose au mémorandum, a conservé ses 15 députés.

Les groupes d’extrême gauche ont vu leurs résultats augmenter. Parmi les organisations se revendiquant du trotskisme et se présentant à l’échelle nationale :

L’OKDE (l’Organisation des communistes internationalistes de Grèce) a recueilli 2 372 voix contre 1 854 en janvier.

L’EEK (Parti ouvrier révolutionnaire) se présentait avec la coalition d’extrême gauche Antarsya : leur liste a recueilli 46 094 voix contre 41 860 en janvier où Antarsya totalisait plus de 39 400 voix et l’EEK 2 441.