Brève

Finances publiques (Paris)

ça chauffe à Londres

Finances publiques (Paris) : ça chauffe à Londres

Raccord, pas d’accord

Le raccordement avec le chauffage urbain de la CPCU se faisait ce week-end. Évidemment, ça demande un peu plus que deux jours. Vendredi et lundi nous n’avons pas eu de chauffage central. Se geler deux jours, c’était pourtant évitable. Une solution simple – comme le changement n’a pas pu se faire l’été – c’était de nous donner congé.

Mais la direction a tout juste été capable de nous proposer… le télétravail !

Alerte à Londres : ça caille

Si vendredi ça allait encore, hier c'était les températures du pôle Nord ! Déjà les couloirs sont froids car aucun dispositif de chauffage ne s'y trouve. Mais dans certains bureaux, la température relevée par des collègues était inférieure à 13 degrés. Les chauffages d'appoint n'étaient pas assez nombreux et en plus ils ont fait sauter les plombs dans certains bureaux. Tout ça, parce que la direction, qui se prend pour une grande organisatrice, a pris le risque de faire ce changement en hiver !

Boules Quies

Depuis un certain temps des travaux bruyants se déroulent pendant les heures de travail. Cela en est arrivé au point que l’on nous propose de nous fournir des boules Quies. Pas pratique pour répondre au téléphone et pour échanger entre collègues, sans compter que ce n’est pas « top » pour la santé.

Aussi hypocrite que la COP28

Bercy Vert par-ci, Bercy vert par-là, la sobriété énergétique à toutes les sauces, on y a droit. Mais dans la réalisation, ce qu’on vit ce sont les montagnes russes de la température avec chauffages d’appoint, la climatisation réversible.

L’écologie DGFiP, c’est pas une réussite !

Partager