Cela fait 100 jours que l’État d’Israël bombarde sans répit la bande de Gaza. Le bilan est effroyable : près de 25 000 morts, et 60 000 blessés, dont des milliers d’enfants, des hôpitaux anéantis, les infrastructures détruites au point que l’eau manque et que la famine et les épidémies sont apparues.

Les grandes puissances impérialistes, États-Unis et France en tête, font mine de s’en émouvoir. En réalité, elles sont complices de ce massacre qui risque de provoquer une guerre généralisée à l’ensemble de la région.